Super Manolito, écrit par Elvira Lindo
[Pobre Manolito, 1995], illustré par Emilio Urberuaga, traduit de l'espagnol par Virginia Lopez-Ballesteros et Olivier Malthet, Gallimard Jeunesse, "Folio Junior", 1998.
L'histoire : Manolito a huit ans, des copains, un petit frère qu'il surnomme Bêta, une mère qui le gronde, un grand-père qu'il aime bien, une institutrice horrible, et, surtout... des tas d'aventures à raconter.
Notre avis : Manolito nous raconte sa vie. Il nous interpelle parfois mais pas trop souvent. L'équilibre est juste. Ce personnage représente un enfant lambda. Il évoque parfois un certain petit Nicolas, casse-cou, intrépide et qui se moque de l'école.
Les chapitres racontent des anecdotes indépendantes qui sont variées et mouvementées. Le roman se tient.
En revanche, nous pensons que chaque chapitre est à lire à distance des autres, commes des histoires indépendantes. L'abondance peut lasser, d'autant plus qu'il n'y a pas de fil rouge ni de trame continue.
Bilan : Les péripéties qui bouleversent la vie de ce petit garçon intrépide sont sympathiques et divertissantes.
Mirabilia.